Monsieur Gérard Rey n'avait pas le droit de nuire au bon fonctionnement de la section locale de son ancien parti
Le Parisien fait le récit de cette histoire ubuesque, véritable insulte au bon fonctionnement de la démocratie locale. Monsieur Cavada ne récupère pas les meilleurs, malheureusement pour lui.
Madame Blumenthal, elle, a récupéré son local et s'est débarassée d'"encombrants".
http://elections.leparisien.fr/elections-municipales-2008//paris-candidats-mairies-municipales/1481-bataille-rangee-pour-les-permanences-electorales.php
" CHANGEMENT de serrures à l’improviste, portes fracturées au burin, déménagement de mobilier : parfois, la politique s’apparente à du combat de rue.
Hier, les militants PS ont réinvesti leur permanence du 150 avenue Daumesnil (XII e ).
Mais pour ce faire, les socialistes ont du livrer un bras de fer avec leur dissident Gérard Rey pour récupérer leur local. L’élu, écarté de la liste socialiste, a décidé de rallier le candidat soutenu par l’UMP, Jean-Marie Cavada. Dans la foulée, il a récupéré les clés du local puisque le bail était à son nom.
Après des changements de serrures de part et d’autre, le Parti socialiste a finalement saisi le tribunal d’instance, qui lui a donné raison. « Nous payons le loyer depuis plus de dix ans. Nos droits ont été reconnus », se félicite-t-on dans l’entourage de la maire et candidate socialiste Michèle Blumenthal. "
Madame Blumenthal, elle, a récupéré son local et s'est débarassée d'"encombrants".
http://elections.leparisien.fr/elections-municipales-2008//paris-candidats-mairies-municipales/1481-bataille-rangee-pour-les-permanences-electorales.php
" CHANGEMENT de serrures à l’improviste, portes fracturées au burin, déménagement de mobilier : parfois, la politique s’apparente à du combat de rue.
Hier, les militants PS ont réinvesti leur permanence du 150 avenue Daumesnil (XII e ).
Mais pour ce faire, les socialistes ont du livrer un bras de fer avec leur dissident Gérard Rey pour récupérer leur local. L’élu, écarté de la liste socialiste, a décidé de rallier le candidat soutenu par l’UMP, Jean-Marie Cavada. Dans la foulée, il a récupéré les clés du local puisque le bail était à son nom.
Après des changements de serrures de part et d’autre, le Parti socialiste a finalement saisi le tribunal d’instance, qui lui a donné raison. « Nous payons le loyer depuis plus de dix ans. Nos droits ont été reconnus », se félicite-t-on dans l’entourage de la maire et candidate socialiste Michèle Blumenthal. "